Ensemble, semons du positif au travail

La petite graine du lundi – post 5

Est-ce le nom d’une variété ancienne de légume ? Euh non ! Le stroke, c’est un signe de reconnaissance.

Et, de la reconnaissance au travail, on en a tous et toutes besoin. Pour Eric Berne, le fondateur de l’analyse transactionnelle, la reconnaissance fait d’ailleurs partie des besoins fondamentaux de l’être humain.

A l’instar de sa traduction littérale en anglais qui signifie à la fois « coup » ou « caresse », le stroke peut être négatif ou positif.

Quand il est lié à une action, on parle de stroke conditionnel. Par exemple, on peut féliciter ou reprendre son collaborateur ou sa collaboratrice sur sa dernière présentation.

Un stroke positif pourrait être. « Bravo pour ton intervention. Tes slides étaient vraiment claires et synthétiques.  » Il va alors renforcer le lien et améliorer la confiance et la performance.  

Le stroke négatif est à utiliser uniquement s’il est formulé de manière constructive : « Ta dernière présentation manquait de précision. Je t’invite à la compléter avec les dernières données du client. »

Quant au stroke inconditionnel qui porte sur la personne en elle-même (tu es une excellente manageuse), il est à utiliser de manière positive uniquement et avec parcimonie. Il est toujours préférable que le jugement porte sur des faits objectivables.

Donner des strokes n’est jamais superflu. Or, on a plutôt tendance (au travail comme à la maison 😊) à ne pas en donner assez plutôt que trop. 

Alors, semons des strokes 

🌱

Très belle journée

Amandine

#management #QVT #bien-êtreautravail #engagement


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